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A l’occasion de sa nouvelle récolte démarrée fin octobre, Pink Lady Europe a fait réaliser, début octobre, une enquête par l’institut de sondage iVox auprès de 1000 Belges. Le but : jauger les connaissances des Belges en matière de pommes et leurs habitudes de consommation. Et l’étude a révélé certaines informations plutôt  surprenantes…

La pomme : toujours populaire et pourtant quelque peu méconnue

Nous, les Belges, aimons les pommes : 95% des personnes interrogées disent qu’elles en mangent régulièrement. Près de 2 personnes sur 5 (36 %) le font plusieurs fois par semaine ou tous les jours. Parmi elles, la Pink Lady citée par 68% des répondants, fait partie des trois variétés les plus appréciées.

Autant nous les aimons, autant nos connaissances sur les pommes sont parfois limitées: 56% des Belges n’ont aucune idée de combien de temps une pomme doit mûrir, 20% avouent ne pas savoir comment on peut voir quand les pommes sont prêtes à être récoltées et 26% n’ont aucune idée de quelles pommes sont cultivées en Europe.

Origine ou durabilité ?

Lorsqu’on leur demande quelles pommes sont considérées comme des variétés « européennes », la Jonagold, la Boskoop et la Pink Lady sont le plus souvent citées. Ils ont raison, les trois provenant d’Europe, la Pink Lady de France et d’Italie, sa longue maturation nécessitant un ensoleillement important.

62% des Belges disent que la provenance des pommes est importante pour eux et 66% préfèrent des pommes européennes. C’est surtout le cas des francophones (74%) et des + 55 (75%). Curieusement, l’origine parait moins importante une fois que les consommateurs se trouvent sur les lieux de vente : la moitié des Belges (48%) disent qu’ils ne regardent pas vraiment consciemment le pays d’origine d’une pomme en magasin. Par ailleurs, nous sommes 64% à estimer qu’une culture qui respecte l’environnement et les producteurs est plus importante que le pays d’origine de la pomme. « C’est peut-être pour cela que la Pink Lady® arrive au troisième rang des pommes préférées des Belges avec ses vergers ecoresponsables et sa charte d’engagements durables » a commenté Pink Lady Europe à ce sujet.

Le fruit avant l’ingrédient

La moitié des consommateurs de pommes (53%) disent manger une pomme le plus souvent simplement comme un fruit, tandis qu’un cinquième (19%) la mangent plus souvent dans une préparation. 28% mangent des pommes aussi souvent « à la croque » comme un fruit que dans une préparation. S’ils le font dans une préparation, c’est avant tout comme compote (57%), dans les pâtisseries (53%) et les salades (de fruits) (45%). Sans surprise, il existe également des différences de préférences culinaires entre les Flamands et les francophones, les « boudins à la compote de pommes » (13,5%) sont par exemple le deuxième plat de pommes le plus populaire auprès des Flamands, alors que ce plat ne plait qu’à 7,4% des francophones. La carbonade (5,1%) est également une combinaison populaire avec de la compote de pommes pour les Flamands, mais beaucoup moins (0,5%) pour les francophones.

Là où les francophones et les Flamands sont tout à fait d’accord, c’est, quand elle n’est pas consommée « à la croque », le choix du plat qui convient le mieux aux pommes Pink Lady : en salade (NL : 13,2% et FR : 13%).

Pink Lady, une pomme pas comme les autres

Le fait que Pink Lady soit souvent utilisé en salade par les Belges dans une préparation n’est pas surprenant. Après tout, son aspect croquant et son goût sucré s’y prêtent parfaitement. Et ses caractéristiques restent les mêmes, toute l’année, grâce aux soins apportés et à sa sélection minutieuse ce qui est clairement apprécié par les consommateurs de Pink Lady. La fiabilité de son goût (45%) est supérieure à celle perçue par les consommateurs chez la plupart des autres pommes.

Mais Pink Lady se distingue également sur d’autres aspects d’autres pommes, à savoir le temps de mûrissement et le moment de la récolte. Ainsi, une pomme Pink Lady mûrit sur l’arbre pendant une moyenne de 7 mois et n’est cueillie qu’à la fin du mois d’octobre, beaucoup plus tard que toutes les autres pommes. Ses qualités organoleptiques, comme sa belle couleur et son goût unique, la Pink Lady les doit aussi aux 700 heures en moyenne de temps de travail requis pour un hectare de Pink Lady®, ce qui équivaut à 20% de plus que les autres variétés.

Il n’est dès lors pas étonnant de voir que les Belges qui la connaissent, font également l’éloge de Pink Lady pour son originalité et son caractère distinctif : avec respectivement 33% et 43%, elle se démarque clairement des autres à cet égard.