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Vous prendrez un peu de frites avec votre steak de PLASTIQUE ?!
Comment ? Une bonne carte de crédit bien caoutchouteuse ça ne vous donne pas faim ?
À en croire les chercheurs de l’Université de Newcastle (Australie), c’est pourtant devenu le plat préféré de notre civilisation :
Un adulte moyen ingurgite 5g de plastique chaque semaine, soit l’équivalent d’une carte de crédit.[1]
Oui, vous avez bien lu : 5g de plastique CHAQUE SEMAINE !!
Soit à peu près 250g par an de matières hautement cancérigènes et bourrées de perturbateurs endocriniens : phtalates, biphényles polychlorés, hydrocarbures aromatiques polycycliques, bisphénols, polystyrènes et autres…
Mais il y a pire.
Ces microsplastiques sont si petits (environ 10 microns, soit 10 millièmes de millimètres) qu’ils s’infiltrent partout dans l’organisme :
Les scientifiques ont identifié leur présence dans le sang de 80% des personnes testées. De cette manière, ils peuvent voyager à travers le corps et se loger dans les organes, un peu comme si vous aviez des « continents de microplastiques » en vous ![2];
13 chercheurs coréens montré qu’ils traversent la barrière hémato-encéphalique et commencent à se déposer dans le cerveau moins de 7 jours après l’ingestion.[3];
Des particules de couleur bleue, rouge, orange et rose ont été retrouvées dans le placenta de femmes enceintes ainsi que dans le sac vitellin, membrane dans laquelle se développe le fœtus. Ce qui fait dire à Antonio Ragusa, directeur de l’étude : « C’est comme avoir un bébé cyborg : il n’est plus seulement composé de cellules humaines, mais d’un mélange d’entités biologiques et non organiques. »[4]
Une fois présents dans l’organisme, ces polluants altèrent ses réponses immunitaires et inflammatoires, et entraînent des réactions en chaîne menant à la mort des cellules.
Il s’agit d’un phénomène encore peu connu et les recherches n’en sont qu’à leurs balbutiements, mais de plus en plus de scientifiques estiment qu’ils pourraient jouer un rôle fondamental dans l’apparition et le développement de nombreux cancers.
D’ailleurs, en 2019 déjà la Commission européenne tirait le signal d’alarme : « Les preuves actuelles concernant l’impact des microplastiques sur la santé donnent déjà de quoi mettre en place des précautions »[5]