« On a seulement peur de ce qu’on ne connaît pas. Nous sommes tous uniques, de par nos vécus singuliers. La comparaison et la concurrence n’ont aucun sens. Seule, la curiosité vis-à-vis de l’autre devrait nous guider, pour le plaisir d’apprendre et de se cultiver mutuellement. », nous confie le cinéaste belge Luc Boland, fondateur et directeur artistique du « TEFF » (« The Extraordinary Film Festival ») – aujourd’hui considéré comme étant le plus important Festival du genre dans le monde – organisé par l’asbl « EOP » (« Extra & Ordinary People »).

Luc Boland et son fils, Lou, 1/2 finaliste de la Saison 9 de « The Voice Belgique » © « Le Soir »
Créé en 2011, ce Festival, unique en Belgique, propose une riche programmation de films nationaux et internationaux et provenant des cinq continents, réalisés sur la thématique du handicap, l’acceptation de la différence et l’inclusion, organisé dans les trois salles du « Delta », à Namur , du jeudi 06 jusqu’au dimanche 09 Novembre.
Bien loin des clichés habituels, la programmation du « TEFF » nous offre un regard ouvert sur différentes cultures, dont certaines nous sont souvent méconnues, nous offrant l’opportunité de nous ouvrir à l’ « Autre », en le découvrant sous un angle nouveau. En croissance constante, depuis sa création, en 2023, la 7e et dernière édition du « TEFF » a accueilli 8.317 spectateurs.
8% de ses spectateurs étaient des personnes porteuses de handicap ; 17%, des professionnel.le.s du secteur du handicap ; 15%, des invités nationaux et internationaux ; 6%, des professionnel.le.s de l’audiovisuel ; 54%, en ce qui concerne le « grand public« .

© « TEFF »
Dans un souci constant d’inclusion et d’accès à la culture pour tous, le « TEFF » est le seul Festival cinématographique belge francophone 100 % accessible, le budget pour rendre les lieux accessibles pour toutes les personnes en situation de handicap s’élevant à 80.000€ (près d’1/3 du budget total). À ce titre, le « TEFF » a obtenu la certification « Access-i » avec le score maximum.
Notons que, selon le « baromètre de la diversité CSA » 2023 ce sujet du handicap n’occupe que 0,47 % du contenu des médias. C’est dire à quel point il s’agit d’un monde méconnu et démontre toujours de la nécessité d’un tel Festival, qui garanti : l’accessibilité des lieux aux personnes à mobilité réduite avec accueil personnalisé, le sous-titrage des films et interprétation en langue des signes des rencontres & des « Q & A », pour les déficient.e.s auditif.ve.s ; et boucles à induction pour personnes malentendantes ; l’audiodescription et programmes accessibles sur le site web, pour déficient.e.s visuel.le.s. Pictogrammes, pour les personnes en situation de déficience mentale. Chiens d’assistance bienvenus.

Un « Questions & Réponses », en séance scolaire © « TEFF »
Au programme : 41 séances, pour 38 films retenus (10 de plus de 50′ & 28 courts-métrages) – dont 28 jamais projetés en Belgique – pour 300 films reçus (1 film sur 9), 16 pays, producteurs ou co-producteurs, issus de 4 continents, étant représentés : Allemagne, Canada, Espagne, Etats-Unis, France, Italie, Iran, Kirghistan, Mongolie, Nouvelle-Zélande, Palestine, Pays-Bas, Pologne, Royaume-Uni, Syrie & Belgique.
- Soirée d’Ouverture, le jeudi 06 novembre, à 20h :
*** « Qui brille au Combat » ( Joséphine Japy/France/2025/96’/film projeté en avant première belge/nommé, en 2025, au « Festival de Cannes »).
Synopsis : « En été, sur la Côte d’Azur, l’équilibre de la famille Roussier est fragilisé par le diagnostic incertain de Bertille, leur plus jeune fille de 13 ans, qui souffre d’un handicap sévère. Ses parents et sa soeur aînée, Marion, 17 ans, vivent dans la crainte constante de la perdre. De son côté, Marion, déconnectée des rêves typiques des adolescents, cherche à s’évader dans une relation avec un garçon plus âgé. Lorsqu’un nouveau diagnostic est posé, l’avenir de la famille est redéfini, ouvrant des possibilités inattendues … »

« Qui brille au Combat » ( Joséphine Japy)
Critique du magazine français de cinéma « Sofilm », par Marine Bohin : « ‘Qui brille au Combat’ est un film charnel, organique, qui fait le choix de montrer frontalement une personne en situation de handicap, mais avec pudeur … Filmés au plus près de leur chair, les comédiens composent une cellule familiale à laquelle on croit tout de suite : Mélanie Laurent, en mère pugnace trouve ici l’un de ses plus beaux rôles, Pierre-Yves Cardinal, que l’on avait pas revu depuis ‘Simple comme Sylvain’, campe une figure paternelle tout en douceur, et Angelina Woreth confirme par la force de son interprétation et sa présence sauvage un très beau début de carrière. Sans oublier la sidérante Sarah Pachoud qui est, dans le rôle de Bertille, le cœur battant de cette bouleversante chronique familiale, traversée par un grand élan de vie. »
Pour « Vanity Fair », la réalisatrice française, titulaire d’une licence d’histoire et d’un master en communication, Joséphine Japy (Joséphine Mahaut Marie Japy/°Paris/1994), a déclaré à notre collègue Norine Raja : « Je commence à jouer à l’âge de 10 ans et j’ai eu le sentiment assez tôt que j’aurais peut-être envie de faire d’autres choses. Mais, à l’époque les acteurs-réalisateurs, ça n’existait pas beaucoup, et encore moins les actrices-réalisatrices. À 20 ans, j’ai tourné avec Mélanie Laurent dans ‘Respire’ et je me suis dit : ‘Oh ! Il y a donc des actrices qui font les deux … Je n’étais pas sûre que mon histoire familiale serait mon premier sujet parce que c’était trop intimidant pour moi … Quand j’ai appris, il y a trois ans, la maladie exacte de ma sœur, le syndrome de Phelan-McDermid, j’ai pu écrire le premier jet de ce film … J’ai terminé le film 48 heures avant de partir pour le ‘Festival de Cannes’ … J’avais l’impression d’être porteuse d’un secret qu’il allait falloir partager avec le monde. »
- Soirée de Clôture, le dimanche 09 novembre, à 20h :
Pas moins de 13 Prix – dont 4 « Prix du Public » – seront attribués, dans le cadre des compétitions officielles, les trois lauréats du concours « Fais ton court » étant, également, honorés, une projection de Clôture nous offrant l’opportunité de (re)voir certains films marquants de cette 8e édition du « TEFF ».
- Longs métrages & Films d’une cinquantaine de Minutes :
*** « A perde de Vue » (Carla & Pierre Petit/France-Kirghizistan/documentaire/2024/54’/film lauréat, entre autres, en 2024, du « Prix du Film Nature et Environnement », du « Prix Alpes Is(h)ere » & du « Prix du Public pour un Film documentaire », au « Festival international d’Autrans – Montagne, Cinéma & Culture » ; du « Prix Coup de Coeur du Jury Sud Ouest » &, pour Carla Petit, du « Prix de l’Aventurière », au « Festival international du Film et du Livre d’Aventure », à La Rochelle ; ainsi qu’en 2025, du « Prix Ushuaïa TV », au « Festival international du Film Aventure et Découverte », à Val d’Isère.

« A perde de Vue » (Carla & Pierre Petit)
Synopsis : « Carla, jeune cavalière malvoyante, entreprend un voyage initiatique à cheval dans les steppes kirghizes. Accompagnée par son père Pierre, chef opérateur et réalisateur, elle entame un parcours exigeant entre steppes et cols, à plus de 4 000 mètres d’altitude. Elle découvre le pays et va à la rencontre du peuple nomade. Pierre filme le voyage et sert d’yeux à sa fille, lui décrivant les scènes qu’elle ne peut voir, la prévient des dangers, l’encourage. Carla conseille son père sur l’équitation et cherche à lui transmettre sa relation singulière aux animaux, aux énergies, aux éléments. Le voyage révèle leur lien unique et fusionnel, chacun découvrant le monde de l’autre au fil de cette aventure. Pierre sait qu’après ce chemin parcouru, il devra laisser Carla s’envoler vers sa vie d’adulte … »
*** « En attendant Zorro » (Sarah Moon Howe/Belgique/documentaire/2024/53′).

« En attendant Zorro » (Sarah Moon Howe)
Synopsis : « Dans le huis-clos des maisons, des parents d’enfants handicapés de grande dépendance espèrent une place dans les services d’accueil et d’accompagnement. En attendant, ils tentent de faire face aux difficultés etaux troubles du comportement. Dans ce marasme existentiel, le film suit le travail de Lucas, éducateur spécialisé, qui se rend au domicile des familles et tente de les aider. Bourré d’énergie et d’optimisme, Lucas permet aux familles à bout de souffle de construire une vie plus apaisée sans attendre une solution structurelle qui tarde à venir … »
*** « En Tongs au Pied de l’Himalaya » ( John Wax/France/2024/94′).
Synopsis : « Pauline, récemment séparée et sans revenus fixes, élève seule Andréa, 6 ans et demi, diagnostiqué avec un trouble du spectre autistique. Bien qu’Andréa ne soit pas au niveau scolaire attendu, il va entrer en grande section de maternelle, une étape décisive pour sa scolarisation future. La stabilité dont il a besoin représente un véritable défi pour Pauline, pour qui tout semble concourir à faire de sa vie une succession d’échecs. C’est pour elle, un peu (beaucoup) gravir l’Himalaya en tongs … »
*** « Hola Frida ! » (André Kadi & Karine Vézina/France-Canada/animation/2024/82’/film lauréat, entre autres, en 2025, du « Prix du meilleur Film (06-10 ans) », au « Stockholms Film Festival » ; du « Prix du Public », au « Festival international du film d’Animation », à Meknès ; & du « Prix du Public du meilleur Long Métrage pour Jeune Public », à « Anima », à Ixelles.
Synopsis : « C’est l’histoire d’une petite fille différente. Son monde, c’est Coyoacan, au Mexique. Pétillante, vibrante, tout l’intéresse. Et lorsque les épreuves se présentent, elle leur fait face avec une imagination débordante. Cette petite fille c’est Frida Kahlo ! Un film familial haut en couleur et en chanson, célébrant la vie de cette artiste inoubliable ! »
*** « La Musique sourde » (Daniela Lanzuisi/France/documentaire/2024/56’/film en Première belge).

Synopsis : « Grâce à leur implant cochléaire, Alexandre, Léandre et Evan, enfants nés sourds, peuvent entendre. Frédéric, père d’Alexandre et musicien, fonde un orchestre inédit au Conservatoire de Marseille afin que son fils et d’autres enfants sourds puissent accéder à la musique. Se rassemblent ainsi, autour des mêmes partitions, des enfants sourds, des jeunes entendants, des jeunes parlant la langue des signes et des musiciens professionnels. Avec l’aide de Malvina, pianiste demi-sourde et pédagogue lumineuse, ils s’accordent et créent ensemble ‘La Musique sourde’ … »
*** « Les Yeux ne font pas le Regard » (Simon Plouffe/Canada/documentaire/2024/90’/film en Première belge).

« Les Yeux ne font pas le Regard » (Simon Plouffe)
Synopsis : « Porté par un environnement sonore immersif qui nous plonge dans la réalité et les perceptions de personnes résilientes et inspirantes, ce documentaire interroge à la fois notre propre aveuglement face à la
violence et à la souffrance de notre époque, soulevant l’urgence de prêter l’oreille pour entendre ces récits … »
*** « Marion ou la Métamorphose » (Laëtitia Moreau & Marion Sellenet/Belgique/ documentaire/2023/52′).

« Marion ou la Métamorphose » (Laëtitia Moreau & Marion Sellenet)
Synopsis : « Tandis que Marion, une artiste plasticienne de 35 ans, perd petit à petit ses muscles, une métamorphose plus profonde s’opère en elle : la perception de ce qu’elle a vécu jusqu’à présent comme un désastre va devenir l’opportunité de se réinventer et de découvrir un autre art de guérir … »
Soulignons que Marion Sellenet est la créatrice de l’affiche 2025 du « TEFF ».
*** « Sorda » (Eva Libertad/Espagne/fiction/2025/99’/film lauréat, entre autres, en 2025, du « Biznaga d’Or du meilleur Film espagnol », au « Festival de Malaga » ; du « Prix de la meilleure Réalisation » de la section « Long Métrage ibéro-américain » , au « FICG » (« Festival Internacional de Cine en Guadalajara ») ; du « Prix du Public », de la section « Panorama », à la « Berlinale » ; ainsi que du « Prix RTBF » & du « Prix BeTV », au « BRIFF » (« Brussels International Film Festival »).

« Sorda » (Eva Libertad)
*** « Zomervacht » (Joren Molter/Belgique-Pays Bas/fiction/2023/87’/film lauréat, entre autres, en 2023, du « Veau d’Or de la meilleure Conception de Production » & du « Prix des Critiques néerlandais de Cinéma », au « Nederlands Film Festival », à Utrecht ; du « Prix du meilleur Long Métrage », au « Festival du Film du Nord », à Lille ; ainsi qu’en 2024, du « Prix du Public » & du « Prix du Jury œcuménique », au « TIFF » (« Transylvania International Film Festival »), à Cluj-Napoca ; & du « Prix Teen Screen », au « Filem’On Festival », à Bruxelles).

« Zomervacht » (Joren Molter)
Synopsis : « Lors de vacances d’été caniculaires, Brian (13 ans) se retrouve coincé avec son frère Lucien (17 ans), atteint d’un handicap mental sévère. Mais comment s’occuper de quelqu’un quand on ne sait pas ce dont il a besoin ?Comment faire les bons choix quand on a encore soi-même tant à découvrir ? … »
- Courts Métrages :
28 films de 6 pays, dont 4 courts belges, seront projetés, répartis en plusieurs séances, dont 4 thématiques, ayant pour sujets la grande dépendance, la parentalité, le surdité, ainsi que la vie affective & sexuelle, une séance familiale étant programmée, de même qu’une séance « C’est du belge ! ».
- Les 2 Jurys officiels :
Courts métrages : Tania Garbarski (actrice), Josef Schovanec (philosophe) & Mathieu Volpe (réalisateur).
Longs Métrages : Gilles Barbier (fondateur d’ « Handicap.fr »), Adriana Da Fonseca (réalisatrice) & Isabelle Rey (réalisatrice).
- « Fais ton Court« , le samedi 08 octobre, à 15h30 :
Ce défi lancé à tous les créatifs amateurs, permet à tout en chacun – nous venant de France, du Luxembourg, de Suisse ou de Belgique – de réaliser son propre film, de deux minutes maximum, avec son « smartphone », sa tablette ou une go pro, trois Prix, d’une valeur de 400€ , chacun, étant mis en jeu, une séance de 11 films étant dédiée à ce concours « Fais ton Court ».
- Carte blanche au Festival « Klappe Auf », de la Ville allemande d’Hambourg :
Une séance de 7 courts métrages, dans la Salle Médiator, le dimanche 09 octobre, à 16h30.
- Séances scolaires :
Plus de de 2.400 étudiants sont déjà inscrits pour cette présente 8e édition.
- Conférence :
Membre du Jury, Josef Schovanec (°Charenton-le-Pont/1981) – chroniqueur radio, écrivain et philosophe autiste français, d’origine tchèque, pouvant s’exprimer dans 7 langues, dont l’ampharique, l’arabe, l’hébreu & le persan – a été fait Docteur en philosophie et sciences sociale, à l’ « EHESS » (« Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales »), à Paris, ainsi que Docteur honoris causa, le 04 octobre 2018, à l’ « Université de Namur », où il inaugura un espace philosophique, en octobre 2019.
- Table ronde professionnelle, dans la salle « Médiator », le jeudi 06 novembre, à 10h30 :

Table ronde professionnelle © Photo : Paquot/« TEFF »
Dans un contexte où les enjeux d’inclusion sont de plus en plus centraux, la question de l’accessibilité dans le secteur audiovisuel mérite une attention renforcée. Cette table ronde, à destination des professionnels du cinéma et de l’audiovisuel, propose de faire le point de manière concrète, collaborative et prospective sur l’accessibilité des œuvres audiovisuelles, de leur production à leur diffusion, en passant par les enjeux économiques, humains & technologiques.
- Une bien belle histoire, après un horrible féminicide :

« La Disgrâce » : Luc Boland, Patricia Lefranc & Frédérique Laniel © « FIFF » © Ph. : L. Lambotte/2021
- En conclusion :
« Le ‘TEFF’ est plus qu’un Festival de films sur le thème du Handicap, c’est une expérience cinématographique, culturelle, humaine, avec des rencontres riches, des moments d’émotions intenses ou de rires, dont on ressort grandis. Le Cinéma, la Culture et l’Inclusion partagent un pouvoir commun, celui de refléter nos diversités et de nous unir dans une histoire universelle » (Luc Boland).
- Billeterie :
Prix par séance, sur place (à l’exception des Galas & de la Conférence) : 7€20/6€, pour les personnes en situation d’handicap, les étudiants & les seniors). Prix par étudiant.e en séance scolaire : 4€. Prix d’accès aux Galas d’Ouverture, de Clôture & à la Conférence : 15€ (12€, pour les personnes en situation d’handicap, les étudiants & les seniors). Pass Journée (accès à toutes les séances du jour, à l’exception des Galas & de la conférence) : 18€ (14€40 , pour les personnes en situation d’handicap, les étudiants & les seniors). Pass Cinéma (accès aux séances des 4 jours, à l’exception des Galas & de la Conférence) : 24€ (19€20, pour les personnes en situation d’handicap, les étudiants & les seniors). Pass complet (accès à tout, à l’exception des Galas & de la Conférence) : 38€ (30€40, pour les personnes en situation d’handicap, les étudiants & les seniors). Pass Fan (accès à tout) : 58€ (46€40, pour les personnes en situation d’handicap, les étudiants & les seniors). Remarque : à l’achat de 4 entrées pour une même séance, un cinquième accès nous est offert. Prévente : prix réduits, jusqu’à la veille de la programmation des séances.« Article 27 » : tickets acceptés pour les séances ordinaires. Livret-programme (disponible à l’accueil) : gratuit. Contacts : 02/673.27.89 & info@teff.be. Site web : http://www.teff.be.
Site web pour les réservations des différentes séances scolaires : https://shop.utick.net/?module=SCHOOLREQUEST&pos=TEFFBESCOLAIRE.
Rendez-vous à l’ « Espace culture provincial Delta », du jeudi 06 au dimanche 09 Novembre.
A noter qu’en novembre, 34 séances, dont de nombreuses scolaires, seront, ensuite, organisées, en délocalisation, à Charleroi (« Quai 10 », le vendredi 21, en journée), Ixelles (« Centre culturel Flagey », le vendredi 21, à 19h), Libramont (« Le Totem », le lundi 24, à 19h), Liège (« Cité Miroir », le mardi 18, à 19h), Louvain-la-Neuve (« Cinescope », le lundi 17, en journée), Mons (« Plaza Arthouse », le lundi 24, à 19h), Saint-Ghislain (« Centre culturel Septem », le mardi 18, en journée) & Woluwe-Saint-Pierre (« Centre culturel W:Halll », le lundi 17, en journée). Pour plus d’infos, consulter le site web : https://teff.be/les-delocs-2025.
« Nous sommes tous extraordinaires ! » (Luc Boland).
Yves Calbert.

