A Namur, jusqu’au 27 Octobre, 13è “KIKK Festival”
Fondée à Namur, en 2011, l’asbl « KIKK » s’investit dans la construction de ponts entre les domaines des arts, de la culture, des sciences & des technologies, transformant l’espace, le densifiant. Avec audace et liberté d’esprit, le 13è « KIKK Festival » – incarnant pleinement l’esprit pionnier et visionnaire – se logera entre la créativité & l’innovation technologique, rafraîchissant les fondations d’une économie à réinventer, le thème, cette année, étant : « True/False » (« Vrai/Faux »).
A cette occasion, l’équipe du Festival a convié par moins de 20 délégations internationales, dont, pour la première fois, l’Estonie et de Géorgie, alors que l’Espagne et l’Afrique seront mises à l’honneur, ce que le bourgmestre, Maxime Prévot tint à souligner – en présence de l’échevine de la Culture, fraîchement élue, Charlotte Bazelaire –sous le Chapiteau, lors de la soirée inaugurale, le jeudi 23 octobre, dès 18h30.
“L’objectif est de favoriser les échanges et la création de réseaux entre les entreprises belges et les délégations internationales. Ainsi, les participants auront accès à une application de ‘networking’, pour faciliter les échanges, et un ‘speed dating’ professionnel sera même organisé sur place”, nous précise Marie du Chastel, directrice artistique du « KIKK Festival », depuis la seconde édition, en 2012, elle qui fut proclamée, en 2020, « Femme francophone de l’Année », par l’ « AIMF » (« Association Internationale des Maires Francophones »).
« C’est quelqu’un qui nous emmène et avec qui on sait qu’on va aller au sommet. C’est riche et épuisant à la fois », confiait, en 2021, Gilles Bazelaire, co-fondateur du « KIKK Festival« , à notre collègue Charline Cauchie, pour le quotidien « L’Echo ».
Notons qu’en 2019 le « CCW » (« Comité Central de Walonie ») remit sa « Gaillarde d’Argent » – récompensant les Namurois qui ont illustré les mérites de la Wallonie – à l’asbl « KIKK », ce trophée étant remis par le président, à l’époque, du « CCW », Eric Adam, aux deux fondateurs de cette association, Gaëtan Libertiaux & Gilles Bazelaire, ce dernier, lui-même entrepreneur, estimant qu’en 2011, année de la création de son association, il n’y avait, en Belgique, aucun lieu mettant à l’honneur la culture numérique.
Ce soir là, il déclara, sur la scène du « Théâtre royal » : « Recevoir ce prix après Benoît Poelvoorde est un immense honneur. Notre ville et notre région ont besoin de modernité et c’est à cela que nous nous attelons depuis bientôt dix ans. Être remercié de cette manière par le ‘CCW’ , qui entretient à merveille notre passé, est donc un symbole fort. »
Cette année, 65 artistes ou associations d’artistes présenteront leurs oeuvres, en 10 lieux : « Coworking » (4 artistes & une association d’artistes), Gare ferroviaire (un duo), « Galerie du Beffroi » (8), « Grand Manège » (2), « Hospice d’Harschamp » (4), « Institut Saint-Louis » (6), « Le Delta » (2), « Maison du Conte » (un), « Office de Tourisme » (un) & « Le Pavillon » (35, de 12 pays).
- « KIKK in Town », une Ville augmentée (Prix du Pass : 5€) :
Quelque soit notre âge, profitons d’une destination incontournable, durant ces vacances d’automne, en prenant rendez-vous, à Namur, dans cet authentique musée à ciel ouvert, nous proposant ses installations interactives et immersives, le « KIKK Festival » nous proposant des œuvres numériques artistiques, réparties sur différents lieux emblématiques de la capitale wallonne, les familles étant les bienvenues.
Au détour du « KIKK in Town » – incluant « Le Pavillon », sur le site de la Citadelle – nous pourrons découvrir, 65 oeuvres, dont celles de Cinzia Compoleze (Canada), Anne Horel (France), Ariane Loze (France), Andreas Refsgaard (Danemark) et Jeroen van Loen (Pays-Bas), qui interrogent notre rapport à l’image, à travers une utilisation créative de l’ « IA », Marie du Chastel insistant sur le fait que cette dernière année a connu une impressionnante progression de l’utilisation de l’ « IA », comme au sein de collectifs présents à Namur, représentant les « Universités d’Arts de Bremen », en Allemagne, Lausanne & Zurich, en Suisse.
Dans la « Galerie Détour », lors de la visite de presse, Marie du Chastel nous fit une démonstration, écrivant ses nom & prénom sur un pc, répondant, ensuite, à une seule question « qu’aimez-vous ». Elle écrivit : « manger une gaufre ». Quelques minutes d’attente et, photographiée par une « IA », nous découvrions son portrait souriant, ses mains tenant cinq gaufres de Bruxelles, avec fraises et crème chantilly, alors qu’une page « Wikipedia » nous donne sa biographie fictive … « Tiens, me voici rajeunie de dix ans », nous dit-elle, selon la fausse date de naissance figurant sur cette page.
Parmi les 7 autres oeuvres exposées dans cette Galerie, outre « Reinforced Learning », de l‘artiste néerlandais Jeroen van Loon, notons la présence de « Could you take a Picture ? », de l’artiste canadienne Cinzia Campolese, qui nous invite à utiliser notre « smartphone », le dirigeant vers une série d’écrans TV, qui, sur notre action, nous présentent une variation de couleurs ; ou encore celle de l’étonnante « Moon-Faced », de l’artiste américano-iranienne Morehshin Allahyari.
Concernant ses oeuvres, Morehshin Allahyari écrit : « Je m’inspire de mes expériences personnelles pour raconter des histoires qui expriment des difficultés et des réalités collectives plus larges. Je crois également au pouvoir des communautés et de la création d’espaces. J’aime voir mon travail comme des projets sur lesquels d’autres personnes peuvent s’appuyer. »
« Strong Haïr », à l « Institut Saint-Louis » © « Yatreda » © « KIKK Festival »/2024
A l’ « Institut Saint-Louis », dans une petite salle, nous trouvons « Strong Haïr », 25 coiffures de femmes de différentes ethnies, ces photographies, en noir et blanc, émanant du collectif éthiopien « Yatreda », coordonné par Kiya Tadele ; alors que, dans l’immense salle principale, sous l’impressionnante verrière, nous découvrons « Transformirror », un grand écran, sur lequel nous apparaissons, évoluant dans des actions fictives, une hallucination de l’ « IA », en temps réel, des artistes américain Kyle McDonald & japonais, Daito Manabe.
« Sub », au « Grand Manège » © Kurt Hentschläger/« KIKK Festival »/2024 © Photo : Bruno Klomfar
N’oublions pas, non plus, de citer – au « Grand Manège », à la l’arrière de la salle, à la parfaite acoustique, du « Namur Concert Hall » – « Sub », de Kurt Hentschläger, au sujet duquel Marie du Chastel écrivit : « Cet artiste américano-autrichien propose une œuvre immersive, jouant sur le concept de persistance rétinienne. Un gigantesque écran LED, de 15 mètres de long, diffusera des visuels pendant une seconde, suivis de 10 secondes de noir. Pendant cette période, les visiteurs continueront de voir des images géométriques persistantes, qui se superposent dans leur vision, perturbant leur perception. L’intensité de la bande sonore électronique et la perte de la notion du temps plongeront les spectateurs dans un état de déconnexion totale, créant une hallucination sensorielle. » Afin de ne pas arrêter la diffusion, aucun GSM, lampe de poche ou autre source de lumière ne peuvent être allumés.
« ReconFIGURE », au « Grand Manège » © « Immersive Arts Space » © « KIKK Fest. »/2024
Dans une autre salle de ce même lieu, nous trouvons une réalisation suisse, « ReconFIGURE », oeuvre de l’ « Immersive Arts Space », collectif émanant de l’ « Université des Arts de Zurich », une autre création faisant appel à l’ « IA ». Filmés, à notre entrée dans cette salle, nous nous retrouvons sur un grand écran, formant un cercle, évoluant comme suspendus dans l’espace.
A souligner que pour la première fois, « KIKK in Town » bénéficiera d’une nocturne, ce vendredi 25 octobre, de 18h à 22h, nous permettant de découvrir, de nuit, les différentes installations du parcours artistique, avec, en prime, sous le chapiteau, un apéro festif, animé par le collectif afro-house « Massaï Club » & un « DJ », une soirée étant, aussi, organisée 300 m plus loin, à « La Nef », sise au N° 2 de la rue Saint-Nicolas.
- « KIKK Market », carrefour des esprits créatifs & entrepreneurs (accès gratuit) :
Retrouvons nombre d’exposants, sous le chapiteau de la place d’Armes, du jeudi 24 jusqu’au samedi 27, de 10h à 18h, le dimanche 28, de 10h à 16h.
Un enfant appliqué, au « KIKK Market » © « KIKK Festival »/2022
A noter que cette année, nous découvrirons une zone « NFT/Art Digital » et un tout nouvel espace « Gaming » nous présentant une sélection de dix jeux vidéo belges inédits, sélectionnés par des spécialistes des nos trois régions, avec le soutien de « FLEGA », « Games Brussels » & « Walga » , représentant un véritable aperçu de la créativité belge dans le domaine du « gaming ».
Ce sera l’occasion pour nous de nous intéresser à une sélection de projets uniques et innovants d’entrepreneurs talentueux, belges et internationaux. Libre à chacun de manipuler & tester en avant-première !
Géré par la « Guilde des Illustratrices », qui réunit des talents venus des quatre coins du pays, le « Marché de l’Illustration », nouveauté de cette année, se tiendra durant ces quatre jours, nous offrant un espace dédié aux dessinateurs et professionnels, où ils nous proposeront leurs œuvres à la vente, telles que des dessins, fanzines, « tote bags », t-shirts et bien plus encore.
- Ateliers pour enfants, sous le chapiteau de la place d’Armes, le dimanche 27 octobre :
** « Expression digitale : Création d’un masque », à 10h, pour nos enfants de 7 ans à 12 ans, qui auront l’occasion d’explorer la notion d’identité dans le monde numérique.
** « Crée un ‘Qui est-ce’ géant généré par l’ ‘IA’, avec ‘Tic Tac Lab’ « , à 10h30, pour nos enfants de 6 à 10 ans, qui découvriront la création numérique avec l’ « IA » et la programmation.
** » ‘Paint & Sound’, avec le studio ‘Can Touch This de Playtronica’ « , à 11h.
** « Initiation au circuit ‘bending’, avec Xavier Gazon », à 17h, pour nos enfants de 9 ans à 14 ans : « sound art », « glitch art », détournement, électromécanique, musique.
Prix par atelier : 0€, pour les Namurois et 5€, pour les non-Namurois.
** A noter qu’un atelier – » ‘Tech Butcher’, avec Elie Bolard » – est, également, organisé dans les locaux du « TRAKK », le samedi 23 octobre, à 11h, pour nos ados, à partir de 16ans, qui seront initiés au « hacking », à la programmatique, au détournement, à l’électromécanique. Prix : 0€, pour les Namurois et 12€, pour les non-Namurois.
- « AfriKIKK » :
Depuis l’an dernier, l’incontournable volet « AfriKIKK » du « KIKK Festival » dispose désormais de sa propre curation au sein du « KIKK in Town », et non des moindres, internationale et féminine , composée de Tegan Bristow, Oulimata Gueye, Faye Kabali Kagwa & Huda Tayob.
Marie du Chastel nous précise : « Nous avons souhaité renforcer la légitimité de notre programmation centrée sur le continent africain en veillant à assurer une représentation adéquate. D’où la mise en place d’un comité composé de quatre femmes : trois Sud-Africaines et une Franco-Sénégalaise. Ces femmes jouent un rôle clé en discutant des artistes à mettre en avant, des projets à venir en Afrique, et de la production d’œuvres qui seront diffusées en Belgique. Des personnalités aux expertises variées, issues des arts numériques, des milieux du spectacle vivant ou encore de l’architecture, avec pour objectif commun de multiplier les perspectives et d’enrichir la programmation. »
Parmi les nombreux invités de l’ « AfriKIKK« , citons, entre autres, le collectif éthiopien « Yatreda » et l’artiste sénégalaise Linda Dounia. L’installation des premiers, baptisée « Strong Hair », se compose d’une série de portraits, diffusés sur 25 écrans, capturant la diversité des coiffures traditionnelles des différents groupes ethniques, en Éthiopie.
« Les portraits ont été réalisés lors de leurs voyages, avec des caméras qui tournent autour des visages des personnes, révélant la richesse et la variété des styles de coiffure. Cette œuvre aborde la tradition capillaire africaine comme une forme d’archive immatérielle, où l’identité d’une nation peut être lue à travers ses coiffures », nous confie Marie du Chastel.
Quand à Linda Dounia – lauréate, en 2024, à San Francisco, du « Prix Rise 25 de Mozilla », pour son travail dans le domaine de l’ « IA », reprise, en 2023, sur la liste « Timea 100 » des personnes les plus influentes dans ce même domaine, ayant exposé, entre autres, au « MoMA », à New York, & été présentée sur « Arte », aussi bien que dans « Time Magazine » & « New York Times » -, elle présentera le cinquième chapitre de son projet, débuté en 2021, « Once upon a Garden », (« Il était une fois un Jardin »), qui constitue une archive spéculative de la flore en danger critique d’extinction, voire éteinte, dont nous n’avons que peu ou pas de traces.
Cette artiste sénégalaise a répertorié des fleurs en voie de disparition dans la région du Sahel et a créé de nouvelles espèces florales virtuelles. Son œuvre utilise l’ « IA » pour préserver et réimaginer la nature, tout en questionnant l’avenir des espèces en danger. Ainsi, « Once upon a Garden » plaide en faveur d’efforts plus équilibrés pour recenser la perte de biodiversité à travers le monde, nous proposant une réflexion puissante sur la technologie au service de la sauvegarde du vivant, plaidant en faveur d’efforts plus équilibrés pour recenser la perte de biodiversité à travers le monde.
- Conférences, « Master Classes », « Workshops » & « Job Dating » :
Conférence pour les 3.000 professionnel.le.s © « KIKK Festival »/2023
Les jeudi 24 & vendredi 25 octobre, plus de 40 intervenants internationaux de renoms exploreront les enjeux technologiques actuels, 47 conférences étant organisées, en anglais (sauf 2 en français, de « Wallimage »), essentiellement au « Théâtre royal » (25), mais, aussi, à « La Bourse » (12) et au « Delta » (10). Par ailleurs, sur inscriptions, le vendredi 25 octobre, une « masterclass » sera proposée à « La Bourse », trois autres se déroulant, le samedi 26 octobre, au « TRAKK », situé au N° 16 de l’avenue Reine Astrid. Enfin, en ce dernier lieu, une « speed dating » est programmée, le vendredi 25 octobre, de 9h jusqu’à 13h.
- Soirées à « La Nef », au N° 2 de la rue Saint-Nicolas :
** « AfriKIKK Party », le jeudi 24, de 20h30 jusqu’à 02h.
** « KIKK Closing Party », le vendredi 25, de 20h30 jusqu’à 02h.
- « KIKK by night », le vendredi 25 octobre :
** Nuit musicale, sous le Chapiteau, de 19h à 22h, avec différents intervenants, dont le collectif afro-house « Massaï Club ».
** « KIKK in Town’, en 5 lieux (accès gratuit, ce soir là : Gare ferroviaire, « Hospice d’Harschamp », « Institut Saint-Louis », « Le Delta » & « Le Pavillon » (au départ de l’esplanade de la Citadelle, dernière descente du téléphérique, à 21h30), de 18h à 22h.
** « Projection Mapping », avec la présence d’artistes, à « La Nef », de 20h à 22h.
- « Stellar Scape-Les nouvelles Conquêtes spaciales » (inclu dans le pass de 5€) :
Cette exposition, organisée en partenariat avec l’ « Université de Namur », est à découvrir, jusqu’au dimanche 26 janvier 2025, au « Pavillon », sur l’esplanade de la Citadelle, à 200 m de la station d’arrivée du téléphérique. En ce lieu, nous plongerons au coeur de l’astronomie et des nouvelles conquêtes spatiales.
« Stellar Scape-Les nouvelles Conquêtes spaciales » réunit les œuvres de 33 artistes, chercheurs & ingénieurs autour de l’imaginaire de l’astronomie & des nouvelles aventures spatiales. Jeunes et moins jeunes, nou pourrons admirer des créations artistiques immersives, des fragments d’astéroïdes et découvrir l’utilisation de l’ « IA » prédictive. En outre, nous serons amener à réfléchir sur les enjeux contemporains, comme les déchets spatiaux & les débris humains dans l’espace.
« Stellar Scape-Les nouvelles Conquêtes spaciales » © « KIKK Festival »/2024
Plus que jamais, le « KIKK Festival » s’impose comme un précurseur dans l’univers des nouvelles technologies et des tendances créatives, en anticipant et façonnant les grandes mutations de demain, mettant en lumière des projets à la pointe de l’innovation, démontrant ainsi sa capacité à rester à l’avant-garde des transformations actuelles.
Prix d’accès au parcours artistique (incluant un plan des installations du « Centre-Ville », ainsi que les entrées à l’exposition « Stellar Scape », au « Pavillon », sur l’esplanade de la Citadelle, de même qu’à trois expo au « Delta » : « Marianne Van Hirtum, artiste surréaliste », « Prix de la Commission des Arts de Wallonie » et « Saint-Gilles 1724-Parle m’en ! ») : 5€ (0€, pour les moins de 16 ans). Contacts : info@kikk.be & 081/22.63.03. Site web : https://www.kikk.be/fr/.
Pour visiter « Stellar Scape », au « Pavillon », si un vaste parking gratuit est disponible sur l’esplanade, soulignons la possibilité de profiter du Téléférique de Namur (de la place Maurice Servais, dans le Centre-Ville, à l’esplanade de la Citadelle. Pour les prix d’accès et horaires, consulter le site web : https://www.telepheriquedenamur.be/).
A souligner qu’en janvier 2024, « Digital Wallonia » a mandaté l’asbl « KIKK » pour soutenir les industries culturelles et créatives, à travers une série d’actions labellisées « Wake« , Marie du Chastel nous précisant : “Le ‘Wake Tour’, destiné aux délégations internationales, est l’une de ces initiatives, ce parcours, à travers plusieurs circuits thématiques, mettant en lumière la créativité wallonne.”
N’hésitons donc pas de nous rendre à Namur, de ce jeudi 24 jusqu’à ce dimanche 27 octobre, pour vivre cette expérience unique et ludique, au cœur de l’art numérique et de l’innovation technologique.
Prenant bonne note de ce que nous avons pu lire dans « Metal Magazine » : « Le ‘KIKK Festival’ est le lieu où l’art, la science et les nouvelles technologies convergent pour créer une sorte de magie », du jeudi 24 jusqu’au dimanche 27 octobre 2024, retrouvons-nous donc à Namur, reconnue, en 2021, à l’issue de la 10è édition du « KIKK Festival », comme « Ville créative de l’UNESCO dans le domaine des Arts numériques », en n’oubliant pas qu’au quotidien, l’asbl « KIKK » organise des événements, monte des expositions, accompagne la production d’œuvres artistiques et participe à l’émergence de nouveaux projets qu’elle accompagne et valorise ensuite.
Yves Calbert.
- rue de Dave, 51, 5100 Jambes