Economie / Bourse

Décembre 2025 : le moment stratégique pour entrer en Bourse et préparer 2026

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Où en est l’économie & les marchés à fin 2025

• Inflation et taux d’intérêt : stabilité relative en Europe

  • Dans la zone euro, les taux directeurs sont pour l’instant figés — la Banque centrale européenne (BCE) maintient son taux « refi » autour de 2,15 % fin 2025. KBC+1

  • Les marchés obligataires long terme (10 ans) dans plusieurs pays européens, y compris la Belgique, sont autour de 3,20–3,25 % fin 2025. KBC

  • D’un point de vue inflation, selon les prévisions globales récentes, l’inflation devrait continuer de décélérer en 2025 puis 2026 dans de nombreux pays avancés. Morgan Stanley+1

👉 Cela signifie qu’en Europe, le climat monétaire/politique semble relativement « stable » — ce qui peut offrir un bon point d’entrée pour un investisseur long terme.

• Croissance mondiale modérée, incertitudes persistantes

  • L’économie mondiale traverse une période de croissance plus lente : selon les estimations de Morgan Stanley, la croissance globale en 2025 serait réduite, et 2026 s’annonce également modeste. Morgan Stanley+1

  • Les secteurs sensibles au commerce international — exportations, chaîne d’approvisionnement, etc. — sont particulièrement exposés à l’incertitude (tarifs, demande, géopolitique…). Morgan Stanley+1

  • Pour les marchés émergents, le contexte est plus contrasté : il y a à la fois des opportunités (croissance, rattrapage) et des risques (instabilité, sensibilité aux taux et à l’inflation). AXA IM+1

• Vers un environnement “moyen + opportunités ciblées”

Globalement, la fin 2025 et le début 2026 s’annoncent comme un moment relativement calme — ni euphorie extrême, ni chaos — mais plutôt un plateau instable, où la sélection des actifs et la diversification intelligente feront la différence.

 À viser fin décembre 2025 / début 2026 — ce à quoi faire attention

Quand je pense à décembre 2025 comme moment d’entrée, voici ce qu’un “trahideur prudent-averti” comme moi regarderait :

  • Un bon moment pour les investissements long terme, surtout si tu es prêt à rester investi 5–10 ans : l’environnement de taux + inflation modérée + stabilisation des marchés européens est relativement propice.

  • Favoriser les valeurs stables ou défensives en Europe — entreprises bien établies, secteurs résilients — pour limiter le risque d’une première secousse.

  • Identifier quelques secteurs “croissance/innovation” : mais sans parier tout sur eux. Si tu joues l’IA, la tech, ou des segments à fort potentiel, garde en tête les risques de volatilité.

  • Diversification géographique + mix zone euro / USA / marchés émergents — pour ne pas dépendre d’un seul environnement économique.

  • Préparer un plan d’entrée progressif (ex : versements réguliers, “dollar-cost averaging”) plutôt qu’un “tout d’un coup” : cela lisse la volatilité et évite de tomber mal.

 Mon “portefeuille cible” version début 2026

Si j’étais toi, voilà comment je répartirais (en part d’investissement boursier, pas sur l’ensemble de mon patrimoine) en entrant fin 2025 :

  • 40–50 % : « cœur défensif / stable » — grandes entreprises européennes ou mondiales, secteurs résilients, dividendes modérés mais réguliers.

  • 20–30 % : « croissance modérée + équilibrée » — mix USA + Europe + marchés “moyen-risque”, secteurs variés (tech modérée, industrie, consommation, santé…).

  • 10–15 % : “croissance + pari” — actions innovantes, small caps, potentiellement marchés émergents, IA/tech, pour viser un rendement élevé mais avec volatilité.

  • 5–10 % : “risque + opportunité” — investissements plus spéculatifs, mais avec un capital que tu peux te permettre de perdre si ça bouge.

Je garderais un horizon 5–10 ans, et m’attendrais à quelques « yoyos » — des montées, des baisses — mais avec un potentiel global intéressant si je reste patient.

✅ Pourquoi décembre 2025 / début 2026 me semble un bon “window d’entrée”

  1. Les taux et l’environnement monétaire en Europe sont stables, ce qui réduit le risque de remontée brutale des coûts d’emprunt.

  2. L’inflation tend à se modérer, ce qui rend les actions (et entreprises solides) plus intéressantes à long terme.

  3. L’économie mondiale n’est pas dans une euphorie, mais dans une phase d’ajustement — ce qui peut permettre de “choper des bonnes affaires” avant que le marché monte à nouveau.

  4. En adoptant la diversification et un horizon long, tu minimises le risque tout en gardant un bon potentiel de rendement.